Du bon usage des antibiotiques
Au-delà de moins prescrire, prescrire mieux
Passer en trois ans de 50 % de pneumocoques résistants à 38 %, voilà qui signe le succès du bon usage des antibiotiques
L’argument financier n’a pas été le seul à l’origine des campagnes consacrées aux antibiotiques : l’enjeu écologique a prévalu avec la nécessité de réduire la progression du nombre de bactéries résistantes. Et l’information, tant du grand public que des médecins, a permis à ces derniers de prescrire mieux, à bon escient, à la bonne dose avec le bon antibiotique.
- Rappeler l’évolution de l’écologie bactérienne sur notre territoire
- Rappeler les situations dans lesquelles la prescription d’antibiotiques est ou n’est pas indispensable
- Revoir les autres modalités de prescription, c’est-à-dire la bonne dose, la bonne posologie, la bonne durée